Glossaire
Glossaire des Émotions, des Blessures Émotionnelles et des Traumatismes Psychologiques
Bienvenue dans notre glossaire, conçu comme un guide pour explorer progressivement les sujets abordés sur notre blog. Bien que la liste ne soit pas exhaustive, elle mentionne aussi de nombreuses autres problématiques psychologiques existantes. Ce glossaire sera régulièrement enrichi et mis à jour à mesure que nous publions de nouveaux articles, afin de vous offrir une expérience de lecture plus enrichissante.
A
- Abandon : La désertion ou l’absence de soutien émotionnel dans une relation.
- Auto-compassion : La capacité à traiter de manière bienveillante et compatissante envers soi-même, en particulier dans des moments difficiles.
- Anxiété : Un état émotionnel caractérisé par des inquiétudes excessives, de la nervosité et des tensions. Cela peut inclure des troubles tels que le trouble d’anxiété généralisée (TAG), le trouble panique et les phobies spécifiques.
- Abus émotionnel : Un type de maltraitance psychologique dans lequel une personne subit des attaques verbales, des insultes constantes, des dégradations ou d’autres formes de violence émotionnelle.
- Addiction : Une dépendance physiologique et psychologique à une substance ou à un comportement, telle que la toxicomanie, l’alcoolisme ou la dépendance au jeu.
- Autisme : Un trouble du développement qui affecte la communication, les interactions sociales et les comportements répétitifs.
- Anorexie mentale : Un trouble de l’alimentation caractérisé par une préoccupation obsessionnelle par le poids corporel, une restriction alimentaire sévère et une image corporelle déformée.
- Agoraphobie : Une phobie des situations ou des endroits où l’on craint de ne pas pouvoir échapper facilement ou de recevoir de l’aide en cas de panique.
- Accès de colère : Des épisodes de colère intense et incontrôlable, parfois associés à des actes agressifs ou destructeurs.
- Amnésie dissociative : Une perte de mémoire sélective ou totale qui peut être causée par un traumatisme ou un trouble dissociatif.
- Anxiété sociale : Une peur intense des situations sociales et de l’évaluation des autres, conduisant souvent à l’évitement de ces situations.
- Avolition : Un symptôme de la schizophrénie caractérisé par un manque de motivation ou d’intérêt pour les activités quotidiennes.
- Alcoolisme : Une dépendance à l’alcool qui entraîne des problèmes physiques, émotionnels et sociaux.
- Auto-mutilation : Un comportement de blessure délibérée sur soi-même, souvent utilisé comme moyen de faire face à la douleur émotionnelle.
- Attentats à la pudeur : Des comportements sexuels inappropriés qui violent les normes sociales et les limites personnelles.
- Agitation : Un état de nervosité, d’agitation ou d’excitation excessive souvent associé à des troubles émotionnels ou psychiatriques.
- Anxiété de séparation : Une anxiété intense liée à la séparation d’une personne significative, souvent observée chez les enfants.
- Altération de la réalité : Une perturbation de la perception de la réalité, souvent associée à des troubles psychotiques tels que la schizophrénie.
B
- Blessure émotionnelle : Un traumatisme psychologique résultant de relations négatives ou de situations traumatisantes.
- Bien-être émotionnel : L’état de santé mentale et émotionnelle globale d’une personne.
- Bipolarité : Un trouble de l’humeur caractérisé par des sautes d’humeur extrêmes, comprenant des épisodes de manie et de dépression.
- Boulimie : Un trouble de l’alimentation caractérisé par des épisodes de consommation excessive de nourriture suivis de comportements compensatoires, tels que le vomissement ou l’abus de laxatifs.
- Borderline (Trouble de la personnalité limite) : Un trouble de la personnalité caractérisé par des variations rapides de l’humeur, une instabilité des relations interpersonnelles et une image de soi fluctuante.
- Burnout : Un épuisement émotionnel et physique dû à un stress chronique, souvent lié au travail.
- Blues post-partum : Une dépression temporaire qui peut survenir chez les femmes après l’accouchement, également appelée « baby blues ».
- Bibliothérapie : Une forme de thérapie qui utilise la lecture de livres comme outil pour traiter des problèmes émotionnels ou psychologiques.
- Bégaiement : Un trouble de la communication caractérisé par des interruptions involontaires du flux de la parole.
- Bruxisme nocturne : Le grincement involontaire des dents pendant le sommeil, souvent lié au stress.
- Besoin de validation : Un besoin excessif d’approbation ou de reconnaissance des autres pour se sentir valorisé.
- Bouffées de chaleur : Une sensation soudaine et intense de chaleur, souvent associée à la ménopause, mais pouvant également résulter de facteurs émotionnels.
- Blessure narcissique : Un traumatisme émotionnel résultant de la critique, de l’humiliation ou de la dévalorisation de la personne.
- Baisse de libido : Une diminution du désir sexuel, qui peut avoir des causes émotionnelles ou physiologiques.
- Bradyphrénie : Un ralentissement sévère de la pensée et de la parole, parfois observé dans la schizophrénie ou la dépression grave.
- Blocage créatif : Une incapacité à générer des idées ou à créer en raison du stress ou de l’anxiété.
- Bouffées de panique : Des attaques soudaines d’anxiété intense, souvent accompagnées de symptômes physiques tels que des palpitations et des tremblements.
- Besoins affectifs : Un besoin fondamental d’amour, d’affection et d’attention émotionnelle.
- Brutalisation psychologique : Un comportement abusif qui vise à dégrader et à manipuler émotionnellement une personne.
- Béhaviorisme : Une approche de la psychologie qui se concentre sur l’observation du comportement comme moyen de comprendre les processus mentaux.
- Besoin d’intimité : Le désir d’une connexion émotionnelle profonde et authentique avec d’autres personnes.
- Bullying : Le harcèlement répété, la persécution ou l’intimidation psychologique d’une personne, souvent observés chez les enfants à l’école.
C
- Confiance en soi : La foi en ses propres compétences et sa valeur personnelle.
- Coping : Les mécanismes et les stratégies utilisés pour faire face au stress et aux émotions difficiles.
- Croyances limitantes : Des pensées négatives qui entravent la confiance en soi et l’estime de soi.
- Confusion mentale : Un état de désorientation et de perte de clarté mentale.
- Crise d’angoisse : Une attaque soudaine et intense de peur ou d’anxiété, souvent accompagnée de symptômes physiques tels que des palpitations et des tremblements.
- Claustrophobie : Une peur intense des espaces clos ou confinés.
- Comportement antisocial : Un schéma de comportement caractérisé par le non-respect des droits des autres, la manipulation et la transgression des normes sociales.
- Culpabilité excessive : Un sentiment extrême de responsabilité et de blâme pour des événements ou des actions, souvent démesuré par rapport à la situation réelle.
- Cyclothymie : Un trouble de l’humeur caractérisé par des fluctuations légères à modérées de l’humeur, mais moins graves que dans la bipolarité.
- Compulsion : Un comportement répétitif et irrésistible effectué pour réduire l’anxiété, souvent observé dans les troubles obsessionnels-compulsifs (TOC).
- Catastrophisme : Une tendance à anticiper le pire scénario dans toutes les situations.
- Crise existentielle : Une période de remise en question profonde de la vie, du sens et de la signification personnelle.
- Comportement autodestructeur : Des actions intentionnelles qui mettent en danger la santé ou la vie de la personne.
- Comportement alimentaire compulsif : La consommation excessive de nourriture en réponse au stress ou à l’anxiété, parfois associée à des troubles de l’alimentation.
- Crise d’identité : Une période de confusion et d’incertitude quant à sa propre identité, souvent observée chez les adolescents.
- Cynisme : Une attitude de scepticisme excessif et de méfiance envers les autres.
- Choc culturel : Le stress et la confusion émotionnelle résultant de l’adaptation à une culture différente de la sienne.
- Compétence sociale limitée : Des difficultés à établir et à maintenir des relations interpersonnelles positives.
- Crise de panique : Une attaque soudaine et intense d’anxiété accompagnée de symptômes physiques graves, souvent liée au trouble panique.
- Crainte de l’abandon : Une peur intense d’être rejeté ou abandonné par les autres, souvent observée dans les troubles de la personnalité.
- Claustrophobie sociale : Une anxiété intense liée à la peur d’être jugé ou critiqué négativement par les autres dans des situations sociales.
- Comportement de consommation d’alcool compulsif : La consommation excessive d’alcool en réponse au stress ou à l’anxiété.
- Crise de la quarantaine : Une période de questionnement de soi et d’ajustement émotionnel qui peut survenir autour de l’âge de 40 ans.
D
- Développement personnel : Le processus d’amélioration de soi sur les plans personnel et émotionnel.
- Désensibilisation : La réduction de la réponse émotionnelle à des événements traumatiques.
- Dépression : Un trouble de l’humeur caractérisé par une tristesse persistante, la perte d’intérêt, des changements dans les habitudes de sommeil et d’appétit, et d’autres symptômes.
- Dépression majeure : Une forme grave de dépression caractérisée par des symptômes graves qui interfèrent souvent avec la vie quotidienne.
- Dépression saisonnière : Une forme de dépression qui se produit à certaines saisons de l’année, généralement en hiver.
- Dépression post-partum : Une dépression qui survient chez les femmes après l’accouchement.
- Dysthymie : Un trouble de l’humeur caractérisé par une dépression chronique de faible intensité, mais qui persiste pendant une longue période.
- Dépersonnalisation : Une sensation de détachement ou de déconnexion de soi-même ou de la réalité.
- Déréalisation : Une perception altérée de la réalité, dans laquelle l’environnement semble étrange ou irréel.
- Dépendance : Une forte dépendance à une substance ou à un comportement, comme l’alcool, les drogues, le jeu, etc.
- Dépendance émotionnelle : Une forte dépendance aux relations émotionnelles avec les autres, souvent au détriment de sa propre santé mentale.
- Déficit de l’attention et hyperactivité (TDAH) : Un trouble neurologique qui se caractérise par des problèmes d’attention, d’hyperactivité et d’impulsivité.
- Dépendance à la nourriture : Une dépendance aux comportements alimentaires compulsifs, souvent associée à des troubles de l’alimentation.
- Dépendance au travail : Une obsession excessive pour le travail au détriment de la vie personnelle et de la santé.
- Dépendance aux jeux de hasard : Une dépendance aux jeux de hasard et aux jeux de paris.
- Dysmorphophobie : Une préoccupation obsessionnelle par un défaut imaginaire dans l’apparence physique, souvent observée dans les troubles dysmorphiques corporels.
- Dépendance à la technologie : Une dépendance excessive aux appareils et aux médias numériques.
- Délire : Une croyance fausse et irrationnelle, souvent due à un trouble mental sévère.
- Dépression atypique : Une forme de dépression caractérisée par une réponse positive aux événements agréables, contrairement à la dépression typique.
- Dépendance aux opioïdes : Une dépendance aux médicaments opioïdes, tels que l’oxycodone ou l’héroïne.
- Dépersonnalisation-déréalisation dissociative : Une combinaison de la dépersonnalisation et de la déréalisation, souvent observée dans les troubles dissociatifs.
- Dépendance à la pornographie : Une dépendance à la pornographie en ligne.
E
- Écholalie : La répétition involontaire des paroles ou des phrases prononcées par d’autres.
- Échopraxie : La répétition involontaire des mouvements ou des gestes d’autres personnes.
- Écoute sélective : Le fait de ne prêter attention qu’à certaines parties d’une conversation ou de filtrer sélectivement les informations auditives.
- Élévation de l’humeur : Une élévation anormale de l’humeur qui peut être associée à des troubles bipolaires.
- Émétophobie : La peur intense et irrationnelle de vomir.
- Énurésie nocturne : L’incontinence urinaire involontaire la nuit, généralement chez les enfants.
- Épisodes dépressifs majeurs : Des épisodes de dépression sévère caractérisés par une humeur dépressive, la perte d’intérêt et d’autres symptômes.
- Épisodes maniaques : Des périodes de manie caractérisées par une humeur anormalement élevée, de l’agitation et une activité excessive.
- État de stress post-traumatique (ESPT) : Un trouble anxieux qui survient après avoir vécu ou été témoin d’un événement traumatisant.
- Évitement : Une stratégie de coping consistant à éviter des situations, des lieux ou des pensées qui déclenchent de l’anxiété ou du stress.
- Évitement émotionnel : Éviter la confrontation de ses propres émotions ou ressentis.
- Évitement social : L’évitement des interactions sociales en raison de l’anxiété sociale ou de la phobie sociale.
- Évitement des soins : Le refus persistant de rechercher ou de suivre un traitement médical ou psychologique nécessaire.
- Excitabilité : Une réactivité accrue aux stimuli, souvent observée dans les troubles de l’humeur.
- Échec scolaire : Des difficultés persistantes à réussir académiquement à l’école.
- Éreutophobie : La peur de rougir en public.
- Érotomanie : Un délire dans lequel une personne croit qu’une personne de statut social élevé est amoureuse d’elle, même en l’absence de preuves.
- Exhibitionnisme : La tendance à montrer ses organes génitaux en public, généralement pour obtenir une excitation sexuelle.
- Énurésie : L’incontinence urinaire involontaire, généralement observée chez les enfants.
- Épuisement professionnel : Un état de stress chronique et d’épuisement lié au travail.
- EMDR, ou Eye Movement Desensitization and Reprocessing, est une approche thérapeutique utilisée pour le traitement des traumatismes, des troubles de stress post-traumatique (TSPT), des blessures émotionnelles et d’autres problèmes de santé mentale. Développée par la psychologue américaine Francine Shapiro dans les années 1987, l’EMDR est devenue une méthode largement reconnue et utilisée.L’EMDR repose sur l’idée que les souvenirs traumatiques non traités peuvent être la cause de symptômes émotionnels et psychologiques persistants. Cette approche vise à faciliter le traitement de ces souvenirs traumatiques pour permettre au patient de les intégrer de manière adaptative.
- Cette thérapie est généralement utilisée par des professionnels compétents, principalement des psychologues cliniciens formés à l’EMDR, des psychiatres, des psychothérapeutes, formés par EMDR France, Europe, EMDRIA.
- Les thérapeutes formés portent le titre de Praticien Certifié EMDR Europe ou EMDRIA.
- Les séances d’EMDR sont effectuées de manière structurée, en suivant un protocole précis, et peuvent varier en nombre en fonction des besoins individuels du patient. Généralement, plusieurs séances sont nécessaires pour obtenir des résultats significatifs.
- Traitement EMDR comprend généralement plusieurs phases :
- Historique et planification de traitement : Le thérapeute recueille des informations sur le patient, ses antécédents et les problèmes spécifiques à traiter. Un plan de traitement est établi.
- Préparation : Le thérapeute explique le processus EMDR au patient et enseigne des techniques d’auto-apaisement pour gérer le stress émotionnel pendant le traitement.
- Évaluation : Le patient identifie des souvenirs traumatiques et évalue l’intensité de la perturbation émotionnelle qui leur est associée.
- Désensibilisation et retraitement : Le patient se concentre sur un souvenir traumatique tout en suivant une stimulation bilatérale, souvent des mouvements oculaires dirigés par le thérapeute. L’objectif est de réduire la charge émotionnelle négative liée au souvenir.
- Installation : Le patient renforce les croyances positives pour remplacer les pensées négatives associées au traumatisme.
- Évaluation du corps : Le patient s’assure qu’il ne ressent plus de détresse en se remémorant le souvenir cible tout en surveillant les sensations corporelles.
- Fermeture : Le patient utilise des techniques d’auto-apaisement pour se sentir en sécurité après la séance.
- Réévaluation : Le thérapeute et le patient évaluent les progrès et l’atténuation des symptômes.
L’EMDR est reconnue comme une approche efficace pour le traitement du TSPT et d’autres problèmes de santé mentale. Elle est utilisée dans le monde entier et est souvent intégrée à d’autres méthodes thérapeutiques pour un traitement complet. Les mécanismes précis de son efficacité font toujours l’objet de recherches, mais de nombreuses études ont montré son utilité clinique.
- L’EMDR peut être utilisée pour traiter un large éventail de problématiques psychologiques et de troubles émotionnels.
- Liste des problématiques couramment traitées avec l’EMDR :
- Trouble de stress post-traumatique (TSPT) : L’EMDR est particulièrement efficace pour le traitement du TSPT, qui peut résulter d’événements traumatiques tels que des agressions, des accidents graves, des catastrophes naturelles ou des expériences de combat.
- Traumatismes simples : Outre le TSPT, l’EMDR peut être utilisée pour traiter des traumatismes simples, tels que des accidents de voiture, des chutes, des agressions mineures, etc.
- Abus sexuels : Les survivants d’abus sexuels, en particulier les enfants victimes d’abus, peuvent bénéficier de l’EMDR pour traiter les traumatismes associés.
- Abus physiques : Les personnes ayant survécu à des abus physiques, qu’ils soient domestiques ou d’origine non domestique, peuvent trouver un soulagement grâce à l’EMDR.
- Deuil et perte : L’EMDR peut aider les personnes à faire face au deuil et à la perte d’un être cher, y compris le deuil compliqué.
- Blessures émotionnelles : Les expériences de rejet, d’humiliation, de trahison et d’injustice peuvent laisser des blessures émotionnelles qui peuvent être traitées avec l’EMDR.
- Anxiété : Les troubles anxieux, tels que le trouble d’anxiété généralisée (TAG), le trouble panique et les phobies, peuvent être améliorés avec l’EMDR.
- Dépression : L’EMDR peut être utilisée en conjonction avec d’autres approches pour traiter la dépression et les épisodes dépressifs majeurs.
- Stress : L’EMDR peut aider à réduire les symptômes liés au stress, qu’il s’agisse de stress au travail, de stress lié à la parentalité, ou d’autres formes de stress chronique.
- Addictions : Certaines personnes luttant contre des dépendances, telles que la dépendance à l’alcool ou aux drogues, peuvent bénéficier de l’EMDR en complément d’une thérapie de récupération.
- Troubles alimentaires : Les troubles de l’alimentation tels que l’anorexie, la boulimie et la compulsion alimentaire peuvent être traités en utilisant l’EMDR pour explorer les traumatismes sous-jacents.
- Problèmes de gestion de la colère : L’EMDR peut aider les individus à gérer leur colère de manière plus saine en explorant les expériences traumatiques qui ont pu contribuer à leur colère.
- Troubles dissociatifs : Les troubles dissociatifs, tels que le trouble de la personnalité dissociative, peuvent être traités avec l’EMDR pour aider à intégrer les parties de la personnalité.
- Estime de soi : Les problèmes d’estime de soi et de confiance en soi peuvent être abordés avec l’EMDR en examinant les expériences passées qui ont contribué à ces problèmes.
- Problèmes relationnels : Les difficultés relationnelles, y compris les problèmes de confiance et de communication, peuvent être explorées et traitées à l’aide de l’EMDR.
L’EMDR peut être utilisée seule ou en combinaison avec d’autres formes de thérapie pour répondre aux besoins individuels des patients. Les résultats varient d’une personne à l’autre, mais de nombreuses personnes ont constaté des améliorations significatives de leur bien-être émotionnel grâce à cette approche thérapeutique.
- Estime de soi : L’évaluation subjective de sa propre valeur et de son importance.
F
- Formation : L’acquisition de connaissances et de compétences par l’apprentissage.
- Forte résilience : La capacité à faire face aux défis émotionnels et à rebondir après des expériences traumatisantes.
- Folie à deux : Un trouble psychotique dans lequel une personne influençable adopte les délires d’une personne qui a un trouble psychotique.
- Fugue dissociative : Une condition où une personne s’évade soudainement de son environnement habituel, perdant souvent la mémoire de son passé.
- Féminisme hostile : Une attitude hostile envers les femmes, caractérisée par des préjugés et de la discrimination.
- Féminisme radical : Une forme de féminisme qui cherche à remettre en question et à transformer fondamentalement les structures de pouvoir patriarcales.
- Folie : Un terme désuet pour désigner un trouble mental grave, souvent associé à des hallucinations et des délires.
- Folie à double tête : Une ancienne expression pour ce que nous appelons aujourd’hui le trouble dissociatif de l’identité (TDI).
- Folie des grandeurs : Un délire où une personne a une estimation exagérée de sa propre importance, de ses pouvoirs ou de sa beauté.
- Folie des nids : Un trouble où une personne rassemble compulsivement des objets inutiles, souvent à un niveau extrême.
- Folie des persécutions : Un délire où une personne croit qu’elle est persécutée, surveillée ou ciblée par d’autres.
- Folie des grandeurs : Un délire où une personne a une estimation exagérée de sa propre importance, de ses pouvoirs ou de sa beauté.
- Folie meurtrière : Une condition où une personne éprouve une forte impulsion ou un désir de tuer.
- Folie religieuse : Un délire centré sur des thèmes religieux ou spirituels.
- Folie systématisée : Un délire complexe et bien élaboré, souvent basé sur des systèmes de croyances.
- Folie toxique : Un trouble mental induit par l’abus de substances psychoactives.
- Fugue dissociative : Une condition où une personne s’évade soudainement de son environnement habituel, perdant souvent la mémoire de son passé.
G
- Guérison : Le processus de récupération physique et émotionnelle après un traumatisme.
- Glossaire : Un ensemble de termes et de leurs définitions utilisés dans un domaine particulier.
- GAD (Trouble d’anxiété généralisée) : Un trouble anxieux caractérisé par une préoccupation excessive et incontrôlable à propos de nombreux événements ou activités, souvent accompagné de symptômes physiques tels que la tension musculaire ou les troubles du sommeil.
- Gambling Disorder : Un trouble de jeu pathologique où l’individu est incapable de résister à l’envie de jouer, même lorsque cela a des conséquences négatives sur sa vie personnelle, professionnelle et financière.
- Glossophobie : Une phobie sociale qui se manifeste par une peur intense de parler en public, souvent associée à des symptômes physiques tels que la transpiration excessive ou les tremblements.
- Gourmandise compulsive : Un trouble de l’alimentation caractérisé par la consommation excessive de nourriture, souvent en réponse au stress, à l’anxiété ou à d’autres émotions négatives.
- Gynophobie : Une phobie spécifique qui implique une peur irrationnelle ou une aversion envers les femmes.
- Gravidophobie : Une phobie liée à la grossesse, caractérisée par une peur intense de devenir enceinte.
- Gerontophobie : Une peur irrationnelle des personnes âgées ou du vieillissement.
- Géphyrophobie : Une phobie des ponts ou de la traversée des ponts.
- Gynécophobie : Une aversion ou une peur des organes génitaux féminins.
- Graphomanie : Une obsession pathologique de l’écriture compulsive.
- Gérontophilie : Une attirance sexuelle exclusive envers les personnes âgées.
- Gérontophobie : Une discrimination ou une préjudice envers les personnes âgées.
- Géophilie : Une attirance sexuelle envers la Terre ou les objets terrestres.
- Glossolalie : La production de discours inintelligibles ou de langage inventé, souvent associée à des contextes religieux.
- Gonadophobie : Une peur irrationnelle des organes génitaux ou de la reproduction.
- Gynandromorphophilie : Une attirance sexuelle envers les personnes intersexuées.
- Gynandromorphophobie : Une peur ou une aversion envers les personnes intersexuées.
- Gamétophobie : Une peur des mariages ou des relations sexuelles.
- Gastrophobie : Une aversion envers la nourriture ou la peur de manger.
- Galactophobie : Une peur irrationnelle du lait ou de l’allaitement.
H
- Humiliation : L’acte de dégrader ou de rabaisser quelqu’un, souvent en public.
- Hallucination : Une perception sensorielle qui semble réelle mais qui n’a pas de source externe, souvent associée à des troubles psychotiques tels que la schizophrénie.
- Haphephobie : Une peur irrationnelle du contact physique ou du toucher.
- Harcèlement moral : Une forme de violence psychologique répétée qui vise à dégrader la victime sur le plan émotionnel.
- Hémopathie : Un groupe de troubles sanguins, tels que l’hémophilie, caractérisé par des problèmes de coagulation.
- Hépatomégalie : L’agrandissement anormal du foie, souvent associé à des problèmes de santé graves.
- Histrionisme : Un trouble de la personnalité caractérisé par un besoin excessif d’attention et un comportement théâtral.
- Hypocondrie : Un trouble anxieux caractérisé par une préoccupation obsessionnelle à propos d’une maladie grave, malgré l’absence de preuves médicales.
- Hypomanie : Un état d’élévation de l’humeur moins intense que la manie, souvent associé au trouble bipolaire.
- Hypnose : Un état modifié de conscience caractérisé par une relaxation profonde et une suggestibilité accrue
- Hyposomnie : Un trouble du sommeil caractérisé par une durée de sommeil insuffisante.
- Hypothymie : Un état de tristesse ou de mélancolie persistante, souvent associé à la dépression.
- Hypoxémie : Une diminution anormale du taux d’oxygène dans le sang, ce qui peut avoir des effets négatifs sur le cerveau et d’autres organes.
- Hystérie : Un trouble psychologique caractérisé par des émotions excessives, un besoin d’attention et des réponses dramatiques aux situations.
- Hystérie collective : Un phénomène social où un groupe de personnes réagit de manière excessive à une menace perçue, souvent par peur ou panique.
- Hypertension : Une affection médicale caractérisée par une pression artérielle élevée, qui peut entraîner des problèmes de santé graves.
- Hypermnésie : Une mémoire anormalement vive ou précise.
- Hyperphagie boulimique : Un trouble de l’alimentation caractérisé par la consommation excessive de nourriture, similaire à la boulimie.
- Hypersexualité : Un comportement sexuel excessif et compulsif
I
- Injustice : Une situation où les droits d’une personne sont violés, souvent perçue comme un traitement inéquitable.
- Interventions : Les actions entreprises pour traiter ou résoudre des problèmes émotionnels ou psychologiques.
- Idéation suicidaire : Des pensées persistantes liées à l’auto-mort.
- Impulsivité : Un comportement spontané et sans réflexion, souvent associé à des troubles de l’impulsivité.
- Inhibition sociale : Une réticence ou une peur excessive des interactions sociales.
- Insomnie : Des difficultés persistantes à s’endormir ou à rester endormi.
- Instabilité émotionnelle : Des sautes d’humeur fréquentes et intenses, souvent associées au trouble de la personnalité limite (TLP).
- Intelligence émotionnelle : La capacité à reconnaître, comprendre et gérer ses propres émotions ainsi que celles des autres.
- Intolérance au stress : Une faible capacité à faire face au stress, ce qui peut entraîner des problèmes de santé mentale.
- Ivresse pathologique : La consommation compulsive d’alcool malgré des conséquences négatives.
- Ivresse traumatique : La perte de mémoire liée à des événements traumatiques, souvent causée par l’alcool ou d’autres substances.
- Ivresse sexuelle : Une impulsivité sexuelle excessive et inappropriée.
- Inhibition sexuelle : Un trouble qui entraîne une incapacité à ressentir de l’excitation ou du désir sexuel.
- Idée délirante : Une croyance persistante et fausse, souvent associée à des troubles psychotiques.
- Imposteur : Le syndrome de l’imposteur est une croyance persistante que l’on n’est pas assez compétent ou que l’on ne mérite pas ses réussites.
- Inhibition psychomotrice : Un ralentissement marqué des mouvements et de la réactivité, souvent associé à la dépression.
- Intelligence : La capacité cognitive à apprendre, comprendre, résoudre des problèmes et s’adapter à de nouvelles situations.
- Isolement social : Une situation où une personne se retrouve socialement isolée, souvent associée à la solitude et à la dépression.
- Insatisfaction corporelle : Un mécontentement persistant à l’égard de l’apparence physique, souvent associé à des troubles de l’alimentation.
- Intoxication : Les effets négatifs causés par la consommation excessive de substances telles que l’alcool ou la drogue.
- Intelligence artificielle : Un domaine de l’informatique qui se concentre sur la création de systèmes informatiques capables de réaliser des tâches qui nécessitent généralement l’intelligence humaine.
- Inattention : Un manque de concentration et de focalisation, souvent associé au trouble déficitaire de l’attention avec hyperactivité (TDAH).
J
- Jaunisse mentale : Un terme historique désignant la démence ou d’autres troubles mentaux graves.
- Jeûne émotionnel : La suppression ou la répression des émotions, souvent pour faire face à des situations stressantes.
- Jeux de hasard pathologiques : Un besoin compulsif de jouer aux jeux de hasard malgré les conséquences négatives.
- Jeux vidéo excessifs : Une utilisation compulsive et excessive de jeux vidéo, parfois au détriment des activités quotidiennes.
- Jeunesse difficile : Une période de vie marquée par des expériences traumatisantes ou des difficultés, pouvant entraîner des problèmes émotionnels à l’âge adulte.
- Jalousie pathologique : Un sentiment excessif et irrationnel de jalousie, souvent associé à des problèmes de confiance en soi.
- Journée mondiale de la santé mentale : Une journée dédiée à sensibiliser sur les problèmes de santé mentale dans le monde.
- Jugement social : La capacité à évaluer et à comprendre les comportements sociaux, souvent liée à l’intelligence émotionnelle.
- Jeux de rôle : Une forme de psychothérapie où les patients jouent des rôles pour mieux comprendre leurs propres comportements et émotions.
- Justice réparatrice : Un modèle de justice qui met l’accent sur la réparation des préjudices plutôt que sur la punition.
- Jalousie amoureuse : Une forme de jalousie liée à des relations amoureuses ou romantiques.
- Jeux de société : Des jeux qui impliquent la participation de plusieurs joueurs et qui peuvent favoriser les interactions sociales.
- Jeux cognitifs : Des exercices mentaux conçus pour améliorer la cognition, la mémoire et les fonctions cérébrales.
- Jeux de mémoire : Des activités visant à stimuler la mémoire et à prévenir le déclin cognitif.
- Jargon psychologique : Un langage spécifique à la psychologie, comprenant des termes et des concepts techniques.
- Jugement clinique : La capacité d’un professionnel de la santé à évaluer et à prendre des décisions concernant un patient en fonction de son expertise clinique.
- Jugement moral : La capacité à évaluer ce qui est moralement bien ou mal dans une situation donnée.
- Jeu de rôle thérapeutique : Une forme de psychothérapie où le patient joue différents rôles pour explorer des problèmes émotionnels.
- Jargon médical : Un langage spécifique à la médecine, comprenant des termes et des acronymes médicaux.
- Jeûne spirituel : Une pratique religieuse qui implique l’abstinence de nourriture pendant une période donnée.
K
- Kleptomanie : Un trouble caractérisé par des impulsions récurrentes de voler des objets, même s’ils ne sont pas nécessaires ou de faible valeur.
- Korsakoff (syndrome de) : Un trouble neurologique causé par une carence en vitamine B1, souvent associé à une consommation excessive d’alcool, et qui se manifeste par des problèmes de mémoire et de confusion.
L
- Lâcher-prise : La capacité à abandonner le contrôle et à accepter ce qui est.
- Libération émotionnelle : Le processus de libération des émotions refoulées.
M
- Maladie mentale : Un large éventail de conditions de santé mentale telles que la dépression, l’anxiété, la schizophrénie, etc.
- Manque de confiance en soi : Une estime de soi faible ou une confiance en ses capacités personnelles.
- Mécanismes de défense : Des stratégies inconscientes utilisées pour protéger l’ego contre l’anxiété ou des menaces psychologiques.
- Mémoire traumatique : La persistance de souvenirs intenses et perturbateurs liés à un événement traumatique.
- Méthodes de gestion du stress : Des techniques pour faire face au stress, telles que la méditation, la relaxation, etc.
- Méthodes de communication : Les compétences de communication, y compris l’écoute active et l’expression de soi.
- Méthodes de résolution de conflits : Des approches pour résoudre les désaccords et les conflits interpersonnels.
- Méthodes de traitement : Des approches thérapeutiques pour aborder divers problèmes de santé mentale.
- Méthodes de relaxation : Des techniques de relaxation telles que la respiration profonde et la relaxation musculaire progressive.
- Motivation intrinsèque : La motivation provenant de l’intérieur, liée à des intérêts personnels et à la satisfaction.
- Motivation extrinsèque : La motivation provenant de récompenses externes ou de pressions sociales.
- Multiplicité des personnalités : Un trouble dissociatif de l’identité où une personne présente plusieurs identités ou personnalités distinctes.
- Maltraitance des enfants : La violence ou les abus envers les enfants, y compris la négligence, la maltraitance physique et émotionnelle.
- Mythes sur la santé mentale : Les idées fausses ou les croyances erronées sur la santé mentale et les maladies mentales.
- Méthodes de recherche en psychologie : Les techniques et les approches utilisées pour mener des études en psychologie.
- Maladie mentale grave : Des troubles psychiatriques graves tels que la schizophrénie ou le trouble bipolaire.
- Manque d’adaptation : La difficulté à s’adapter à de nouvelles situations ou à des changements de vie.
- Mal-être au travail : Les problèmes de santé mentale liés au stress professionnel ou à un environnement de travail toxique.
- Maladie d’Alzheimer : Une maladie neurodégénérative qui affecte la mémoire et la cognition.
- Manipulation émotionnelle : L’utilisation de tactiques manipulatrices pour contrôler ou influencer les émotions d’autrui.
- Mécanismes d’adaptation : Les comportements et les réactions utilisés pour faire face au stress et aux traumatismes.
- Méditation : Une pratique visant à calmer l’esprit et à favoriser la clarté mentale.
- Mindfulness : La pleine conscience, la pratique de rester conscient et présent dans l’instant.
- Motivation : Les forces qui influencent notre comportement et nos actions.
N
- Narcissisme : Un trouble de la personnalité caractérisé par un besoin excessif d’admiration et un manque d’empathie envers les autres.
- Négligence émotionnelle : Le manque d’attention, de soutien ou d’affection émotionnelle, en particulier dans l’enfance.
- Nervosité : Un état d’anxiété ou d’agitation, souvent lié à des situations stressantes.
- Névrose : Un terme obsolète pour décrire des troubles anxieux ou dépressifs moins graves que les psychoses.
- Non-conformité de genre : L’identité de genre d’une personne diffère de son sexe assigné à la naissance.
- Noosphère : Un concept métaphysique désignant la sphère des pensées et des connaissances humaines.
- Nymphomanie : Un terme obsolète pour décrire un désir sexuel excessif chez les femmes, non reconnu médicalement aujourd’hui.
- Négligence émotionnelle : Le manque d’attention, de soutien ou d’affection émotionnelle.
- Neuro-émotionnel : Relatif à la relation entre le cerveau et les émotions.
O
- Ondes cérébrales : Les modèles d’activité électrique dans le cerveau, associés à différents états mentaux.
P
- Panicomanie : La tendance à créer des problèmes ou à paniquer excessivement.
- Paranoïa : Un trouble mental caractérisé par une méfiance excessive envers les autres et la croyance que les autres ont des intentions malveillantes.
- Phobie : Une peur intense et irrationnelle d’un objet, d’une situation ou d’un être vivant.
- Perte de mémoire : L’incapacité à se souvenir d’événements passés ou de détails importants.
- Personnalité antisociale : Un trouble de la personnalité caractérisé par un mépris des droits des autres et un comportement asocial.
- Personnalité borderline : Un trouble de la personnalité caractérisé par des sautes d’humeur, des relations instables et une image de soi fluctuante.
- Personnalité narcissique : Un trouble de la personnalité caractérisé par un besoin excessif d’admiration et un manque d’empathie envers les autres.
- Phénomène de Raynaud : Une réaction excessive au froid ou au stress, provoquant une constriction des vaisseaux sanguins et un engourdissement des extrémités.
- Préoccupations corporelles excessives : Une préoccupation obsessionnelle par l’apparence physique et les imperfections.
- Pensées intrusives : Des pensées non désirées et récurrentes qui peuvent être perturbantes.
- Perte d’intérêt : Un manque d’intérêt pour des activités qui étaient autrefois plaisantes.
- Phénomène de Stockholm : Le développement d’une sympathie envers un ravisseur ou un agresseur, généralement en situation de prise d’otage.
- Procrastination : Le report constant des tâches et des responsabilités.
- Psychose : Une perte de contact avec la réalité, caractérisée par des hallucinations et des délires.
- Pulsion : Un désir intense et soudain de satisfaire un besoin, comme la faim, la soif ou le désir sexuel.
- Perfectionnisme : Le besoin compulsif d’atteindre des normes élevées et de ne pas tolérer l’échec.
- Perte de contrôle des impulsions : L’incapacité à résister à des comportements impulsifs tels que la suralimentation, la dépense excessive ou la colère explosive.
- Pensée noire : Des pensées excessivement négatives et pessimistes sur soi-même et sur l’avenir.
- Phénomène d’adaptation : La capacité à s’ajuster à des situations stressantes ou nouvelles.
- Phobie sociale : Une peur intense des situations sociales et du jugement des autres.
- Prévention : Les mesures prises pour éviter ou réduire les blessures émotionnelles et les traumatismes.
- Psychologie : L’étude du comportement et de la pensée humaine.
- Psychothérapie : Un traitement pour les problèmes de santé mentale qui implique une conversation avec un professionnel de la santé mentale.
Q
- Querelle familiale : Des conflits prolongés et souvent intenses au sein d’une famille, pouvant causer du stress émotionnel.
- Quête de sens : Une préoccupation profonde et persistante pour trouver un but ou une signification dans la vie.
- Questionnement identitaire : Des doutes ou des préoccupations sur l’identité personnelle, notamment liés à l’orientation sexuelle, à l’identité de genre ou à l’appartenance culturelle.
- Quotient émotionnel (QE) : La capacité à reconnaître, comprendre et gérer ses propres émotions ainsi que celles des autres.
- Quotient intellectuel (QI) : Une mesure de l’intelligence cognitive, bien que cela ne soit pas strictement une problématique, mais plutôt une évaluation.
- Qualité de vie : Le niveau de confort, de bien-être et de satisfaction dans la vie quotidienne.
R
- Rumination : Un processus de pensée répétitif et excessif, généralement axé sur des problèmes ou des soucis, qui peut contribuer à l’anxiété et à la dépression.
- Refus alimentaire sélectif : Une condition où une personne limite sévèrement les aliments qu’elle est prête à manger, souvent associée à des problèmes d’alimentation chez les enfants.
- Régression : Un retour à des comportements ou des réponses émotionnelles moins matures, souvent en réponse au stress ou à la tension.
- Relation toxique : Une relation interpersonnelle malsaine caractérisée par des comportements abusifs, du contrôle excessif ou de la manipulation.
- Retrait social : Éviter ou se retirer activement des interactions sociales, parfois en raison de l’anxiété sociale ou de la dépression.
- Ressassement mental : Une préoccupation excessive et compulsive à propos d’un événement passé, généralement négatif, qui peut contribuer à l’anxiété et à la détresse émotionnelle.
- Rêves récurrents traumatisants : Des cauchemars fréquents liés à des expériences traumatisantes, souvent associés au trouble de stress post-traumatique (TSPT).
- Rétablissement : Le processus de récupération après une maladie mentale ou un traumatisme, visant à retrouver un fonctionnement optimal.
- Réussite : Une pression excessive pour atteindre la perfection, souvent associée à l’anxiété et à des attentes irréalistes.
- Résilience : La capacité à faire face aux défis et aux traumatismes et à s’en remettre de manière positive.
- Ruminations obsessionnelles : Des pensées intrusives et récurrentes qui peuvent être associées aux troubles obsessionnels-compulsifs (TOC).
- Réponse de combat ou de fuite : Une réaction automatique du système nerveux face à une menace perçue, entraînant une augmentation de l’adrénaline et du cortisol.
- Rythme circadien : Les fluctuations naturelles de l’éveil et du sommeil sur une période de 24 heures.
- Réaction de stress aigu (RSA) : Une réaction immédiate au stress, qui peut inclure une anxiété intense et des symptômes physiologiques.
- Rétroaction positive : Un processus où le comportement d’une personne est renforcé par des récompenses ou des conséquences positives.
- Réadaptation : Le processus de réintégration dans la société après une hospitalisation psychiatrique ou une période de traitement.
- Rage : Une émotion intense de colère qui peut être difficile à contrôler.
- Recherche de sensations : Un désir intense d’expériences excitantes ou risquées, parfois associé à des comportements impulsifs.
- Recherche d’approbation : Une préoccupation excessive pour l’approbation et la validation des autres, souvent liée à l’estime de soi.
- Rupture relationnelle : La fin d’une relation amoureuse, amicale ou familiale, pouvant entraîner du chagrin et des problèmes émotionnels.
- Récupération : Le processus de guérison et de rétablissement après un traumatisme.
- Relations interpersonnelles : Les interactions et les connexions entre les individus.
S
- Stress : Une réaction du corps à des facteurs de stress, pouvant entraîner des symptômes physiques et mentaux.
- Schizophrénie : Un trouble mental caractérisé par des délires, des hallucinations, des pensées désorganisées et un comportement altéré.
- Séparation anxieuse : Une anxiété intense associée à la séparation d’avec une personne à laquelle on est attaché, souvent observée chez les enfants.
- Sociophobie : Une peur intense des situations sociales et de l’interaction avec les autres, également connue sous le nom de phobie sociale.
- Somatisation : La conversion de la détresse émotionnelle en symptômes physiques sans cause médicale apparente.
- Soutien social insuffisant : L’absence de réseau de soutien social, ce qui peut contribuer à l’isolement et à la dépression.
- Stigmatisation : La discrimination ou le préjugé envers les personnes atteintes de troubles mentaux.
- Syndrome de stress post-traumatique (SSPT) : Un trouble anxieux qui survient après un événement traumatisant, caractérisé par des flashbacks, des cauchemars et une détresse émotionnelle.
- Syndrome de dépression saisonnière (SAD) : Une dépression qui se produit généralement pendant les mois d’hiver en raison du manque de lumière solaire.
- Suicide : Le comportement autodestructeur consistant à mettre fin à sa propre vie.
- Syndrome de la page blanche : Un blocage créatif ou l’incapacité à produire du travail en raison de la pression ou du stress.
- Syndrome de l’imposteur : Le sentiment de ne pas mériter ses réalisations et de craindre d’être exposé comme un imposteur.
- Syndrome de l’homme agité : Un trouble du comportement caractérisé par une agitation, une impulsivité et des difficultés à rester assis calmement.
- Syndrome de Gilles de la Tourette : Un trouble neuropsychiatrique caractérisé par des tics moteurs et vocaux involontaires.
- Syndrome de fatigue chronique : Une fatigue persistante et invalidante qui ne s’améliore pas avec le repos.
- Syndrome de Stockholm : Un phénomène psychologique où les victimes développent une certaine sympathie ou une alliance avec leurs ravisseurs.
- Solitude : Un sentiment de détresse lié à l’isolement social et à l’absence de connexions significatives.
- Syndrome de la ménopause : Des symptômes émotionnels et physiques associés à la ménopause, tels que des sautes d’humeur et des bouffées de chaleur.
- Syndrome de la résignation : Une condition où une personne accepte passivement sa situation, même si elle est négative.
- Sensationnalisme : La recherche constante d’excitation et de stimulation, parfois au détriment de la sécurité et de la stabilité.
- Santé mentale : L’état émotionnel, psychologique et social d’une personne.
- Stress : La réponse du corps aux défis et aux pressions de la vie.
- Soutien social : Le réseau de relations personnelles qui apporte un soutien émotionnel et pratique.
- Syndrome de stress post-traumatique (SSPT) : Un trouble anxieux qui survient après un événement traumatisant.
U
- Urologomanie : Un trouble psychologique rare où une personne a un besoin compulsif de parler ou de dire des mots offensants.
- Urophilie : Une paraphilie dans laquelle une personne est sexuellement excitée par l’urine.
- Urophobie : Une peur excessive de l’urine ou des situations liées à l’urine.
- Unipolaire : Un type de dépression caractérisé par des épisodes dépressifs majeurs.
V
- Violence conjugale : Un modèle de comportement abusif et violent au sein d’une relation amoureuse ou conjugale.
- Voyeurisme : Une paraphilie où une personne obtient une excitation sexuelle en observant secrètement les autres, généralement sans leur consentement.
- Vulnérabilité émotionnelle : Une tendance à réagir de manière intense aux émotions ou à se sentir facilement submergé par elles.
- Victimisation : Le fait d’être la victime d’un acte criminel ou abusif, souvent associé à des traumatismes émotionnels.
- Vieillissement psychologique : Les changements cognitifs et émotionnels qui surviennent à mesure qu’une personne vieillit.
- Véritophobie : La peur excessive de dire la vérité ou d’être honnête.
- Voyage mental : Un état mental où une personne s’évade
- Validation émotionnelle : Le processus d’exprimer de la compréhension et de la reconnaissance envers les émotions des autres.
- Valeur personnelle : L’estimation personnelle de sa propre importance et de son sens de la vie.
W
Certains termes empruntés à la langue anglaise sont occasionnellement utilisés dans le jargon de la psychologie…
- Worry (Inquiétude) : L’inquiétude excessive et persistante à propos d’événements futurs, souvent associée au trouble d’anxiété généralisée.
- Widowhood (Veuvage) : Les défis émotionnels et psychologiques auxquels une personne est confrontée après la perte de son conjoint ou de sa conjointe.
- Workaholism (Toxicomanie au travail) : Une obsession malsaine pour le travail, qui peut entraîner des problèmes de santé mentale et physique.
- Withdrawal (Retrait social) : Se retirer de la vie sociale et éviter les interactions sociales, souvent associé à la dépression ou à l’anxiété sociale.
- Well-being : Le bien-être général
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